La Traviata

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Renato Palumbo dirige le mélodrame de Verdi, mise en scène par Giorgio Gallione 
Mélodrame en trois actes de Giuseppe Verdi, livret de Francesco 
Maria Piave d'après le roman La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils Produit par la Fondazione Teatro Carlo Felice di Genova

 

Argument

L’action se déroule à Paris et dans ses environs autour de 185019,j (en août pour le premier acte, janvier pour le deuxième et février pour le troisième).

Alfredo Germont, jeune homme issu d'une bonne famille provençale, tombe amoureux d’une courtisane en vue, Violetta Valéry, lors d’une soirée privée à Paris. Sincèrement amoureuse, Violetta abandonne son métier et se donne sans réserve à Alfredo. Cependant, monsieur Germont, le père d'Alfredo, au nom de la respectabilité bourgeoise, obtient d'elle qu'elle rompe avec son fils. Violetta écrit alors une lettre de rupture à Alfredo sans dévoiler le motif réel de sa décision. La maladie mortelle (la tuberculose) dont elle était déjà atteinte, reprend alors de plus belle. Un mois plus tard, Alfredo apprend de son père que Violetta n’a jamais cessé de l’aimer, et qu'elle a sacrifié son amour à la réputation de son amant. Saisi par le remords, il accourt à son chevet, mais trop tard : épuisée par la maladie, Violetta meurt dans ses bras.

 

Acte I

Le prélude installe d'emblée le climat pathétique de l'opéra. Le rideau se lève sur un salon dans un hôtel particulier à Paris. Pour s'étourdir, Violetta Valéry, courtisane célèbre, donne une fête. Tous ses amis sont réunis autour d'elle, à commencer par son protecteur et amant en titre, le baron Douphol. Au cours de cette fête, Gaston, un admirateur lui présente un de ses amis venu de province, Alfredo Germont. Après que tous les invités, Alfredo en tête, ont porté un toast à la joie de vivre (c'est le célèbre brindisi : « Libiamo ne' lieti calici (Buvons dans ces joyeuses coupes) »), le nouveau venu déclare sa flamme à Violetta, qui dans le duo qui suit (« Un dì, felice, eterea (Un jour, heureuse, sublime) ») se laisse tenter par l'espoir d'un amour véritable, avant de rejeter cette perspective irréaliste, - une fois restée seule, dans le célèbre grand air qui clôt ce premier acte «È strano ! È strano !... / Ah, fors'è lui che l'anima... / Follie, Follie ! Delirio vano è questo ! ...» (« C'est étrange ! C'est étrange ! ... » / « Ah, peut-être qu'il est celui que [mon] âme ... » / « Folies ! Folies ! Ce n'est qu'un vain délire ! ... »).

 

Acte II

Alfredo et Violetta se sont installés dans une villa, près de Paris et vivent le parfait amour, quand Alfredo apprend par Annina, la femme de chambre, que Violetta est obligée de vendre meubles et bijoux pour subvenir à leurs dépenses personnelles. Il se rend donc à Paris pour payer les dettes de Violetta.

Restée seule, Violetta reçoit la visite inattendue du père d'Alfredo, Giorgio Germont. Monsieur Germont, en vrai « père noble » du drame romantique, reproche à Violetta d'entretenir une union immorale avec son fils, et regrette que cette aventure jette le discrédit sur toute sa famille, en empêchant notamment le mariage de la jeune sœur d'Alfredo avec un homme d'une famille distinguée, qu'on devine assez conservatrice. Il l'accuse également de pousser Alfredo à la dépense. Il joue ainsi sur le désir de reconnaissance de la « fille » qu'est de toutes façons à ses yeux Violetta, précisant cruellement qu'une liaison entre personnes de milieux si différents ne pourra jamais être couronnée par un mariage. Il lui demande donc de renoncer à cette liaison. Cédant à ces injonctions, Violetta fait remettre sa lettre de rupture à Alfredo, et part rejoindre les invités de la fête que donne Flora, son amie, à Paris.

Alfredo se rend aussi à cette fête à laquelle Violetta se présente accompagnée du Baron Douphol. Après avoir insolemment gagné au jeu, Alfredo rappelle les invités dans le salon et jette l'or qu'il vient de gagner, par terre devant Violetta. Les invités sont scandalisés par son geste. Giorgio Germont survient à propos pour condamner à son tour la goujaterie de son fils.

 

Acte III

Violetta en proie à une rechute de son mal est soignée par Annina dans son appartement parisien surveillé par les créanciers. Elle relit la lettre de Giorgio Germont, qui lui révèle qu'il a tout avoué à son fils, et qui lui annonce qu'Alfredo viendra lui-même lui rendre visite. Pendant qu'au-dehors retentit la joie du carnaval, Violetta tourne le dos à son passé de pécheresse, en attendant le retour d'Alfredo, l'homme qu'elle n'a jamais cessé d'aimer (« Addio del passato (Adieux au passé) »). Mais à peine ce dernier se fait-il annoncer (« Parigi, o cara (Paris, ô ma chérie) »), qu'elle meurt à bout de forces dans ses bras.

Programme et distribution

Personnages et interprètes :

Violetta Valery :
Olga Peretyatko
Elena Schirru (14, 16, 18)

Flora Bervoix :
Carlotta Vichi

Annina :
Chiara Polese

Alfredo Germont :
Francesco Meli
Klodjan Kaçani (14, 16, 18)

Giorgio Germont :
Roberto Frontali
Leon Kim (14, 16, 18)

Gastone :
Roberto Covatta

Baron Douphol :
Claudio Ottino

Marquis d’Obigny :
Andrea Porta

Dr. Grenvil :
Francesco Milanese

Domestique de Flora :
Loris Purpura

Giuseppe :
Giuliano Petouchoff

Commissaires :
Filippo Balestra

Konzertmeister und Dirigent :
Renato Palumbo

Metteur en scène :
Giorgio Gallione

Scénographie et costumes :
Guido Fiorato

Éclairage :
Luciano Novelli

Orchestre, chœur et techniciens de l’Opera Carlo Felice Gênes
Chef de chœur : Claudio Marino Moretti

Théâtre Carlo Felice

  Construit sur ​​la zone de Carlo Felice, le nouveau théâtre, construit par Aldo Rossi, récupère une idée déjà présente dans les projets Paul Chessa et Carlo Scarpa: la création d'une place couverte de 400 mètres carrés, où le théâtre il était le lien idéal entre Galleria Mazzini et la Piazza de Ferrari. Distant à la place d'un point de vue architectural sont les mêmes Galleria Mazzini et le théâtre. la place est un foyer ouvert; les murs sont recouverts de dalles de pierre, et sont enrichis avec descolonnes et des poutres métalliques. Il y a deux exigences que les architectes voulaient garder à l' esprit dans la mise en œuvre du nouveau théâtre Carlo Felice: d' abord, la nécessité de reconstruire exactement là où il était et d' autre part le désir d'équiper la nouvelle installation avec la dernière technologie. De ce dernier besoin de la tour de mouche imposant environ 63 mètres de haut. En pratique , le vieux travail de théâtre de Barabino restent les colonnes, le portique, l'inscription latine et la terrasse qui donne sur la Via XXV Aprile qui est accessible par un hall d'accueil; la structure actuelle est très compact et géométrique, la tour de la mouche est un linéaire très développé en hauteur rectangulaire, ornée seulement par une corniche. L'auditorium, le foyer et les services au public sont contenus dans une petite boîte, où ils mettent l' accent sur ​​le porche et le porche. Quant à la construction du nouveau théâtre sont la pierre ont été utilisés pour l'extérieur, leplâtre et le fer, pour l'intérieur en marbre et en bois. Il est un matériau durable qui suggère une image de l' éternité, la sécurité et la survie du bâtiment au fil du temps.De la place couverte, descendant un escalier, vous entrez dans une pièce avec une capacité d'environ 200 places. Equipé d'une petite scène et indépendante du reste du théâtre, la salle accueille des conférences, des conférences et desévénements musicaux. L'intérieur de l'entrée du théâtre large escalier mène à la garde - robe et continue de grimper, le premier foyer qui a une superficie de 660 mètres carrés et est décorée de fresques et de tapisseries. la lanterne Un trait caractéristique de la nouvelle Carlo Felice est la lanterne visible dans le hall donnant sur ​​le hall; il est une sorte d' un cône de lumière qui traverse le bâtiment dans toute sa hauteur et il traverse tous les plans, ce qui porte la lumière du toit de la place à l' intérieur. La tour Absolument unique , est le scénario dans lequel ils opèrent les unités techniques; droit dans la tour pittoresque, qui abrite la machine pour déplacer les spectacles, sont réunis dans un équilibre délicat travail humain et des engins sophistiqués. En fait, le théâtre comporte quatre étapes, une étape principale, une étape de retour derrière les deux premières étapes et moins alignées les unes avec les autres et géré par. Intégrés électroniques et informatiques Ces installations scéniques de manutention, d' éclairage informatisé, des stands sophistiqués directeur pour le tournage et l' acoustique parmi les meilleurs en Italie sont parmi les caractéristiques qui rendent le Carlo Felice une usine d'émotions parmi les plus importants en Italie.

 

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